Cet objet permet de savoir si l’on se trouve vraiment devant un vampire car il ne s’y reflétera pas.
Il pourra, à l’occasion, refléter la lumière du soleil.
Une hostie consacrée qui le même effet.
Appliquée sur le corps du personne « contaminée » par un vampire, elle doit révéler par une marque, une brûlure, l’infamie de celle-ci. Elle va souvent de pair avec l’ail.
Le fait de brandir une arme blanche ( couteau, épée, etc. ) est efficace.
Il est même possible de blesser le vampire en lui portant un coup.
Cependant, les vampires ne sont pas sensibles à tous les objets tranchants.
Pour être véritablement efficace, l’arme doit être tranchante des deux côtés, avoir des inscriptions chrétiennes gravées sur sa lame et, surtout, ne jamais avoir blessé un être humain.
Il est possible de transpercer le coeur d’un vampire avec un poignard préalablement béni par un prêtre.
Le crucifix ou la croix est l’une des protections utilisée contre les vampires pour les mettre hors état de nuire et l’une des meilleures armes pour se défendre. Elle est très utile à condition qu’elle soit en argent.
La croix, symbole de Christ et de la religion catholique, représente le triomphe du Bien ( la religion , l’ordre moral ) sur le mal ( Dracula et les vampires ). La croix ( ou le crucifix ) est censée protéger les gens « normaux » contre le danger du vampire. Ainsi appliquée sur le corps du personne « contaminée » par un vampire, elle doit révéler par une marque, une brûlure, l’infamie de celle-ci.
Ces plantes le tiennent à distance ou l’empêchent de quitter sa tombe lorsqu’elle est posée dessus.
N.B. : il est intéressant de préciser que :
- les fils d’un homme mordu par un vampire peuvent écarter le danger d’être vampirisé à leur tour après leur mort en mangeant du pain composé de farine et de sang animal ;
- Pour les vampires, un « esprit pur » est un être qui a la Foi, c’est-à-dire quelqu’un qui croit aux vampires. Dans cette mythologie, seul un « esprit pur, à condition qu’il ait déjà pris une vie » peut tuer un vampire.
Mais, tout cela ne suffit pas. Pour achever l’anéantissement d’un vampire, la décapitation est recommandée. Toutefois, elle doit être opérée à l’aide d’une pelle de fossoyeur. Si la décapitation n’est pas possible, l’incinération du vampire peut assurer sa mort définitive, tout comme le fait de plonger son corps dans une eau légèrement salée, comme on en trouve dans les lagunes au bord de la mer.
II. Si l’on veut localiser un vampire dans un cimetière :
Il faut faire chevaucher un cheval blanc qui n’a jamais sailli par un jeune homme pubère.
Promener le cheval et le cavalier dans le cimetière qui est supposé abriter le vampire et lui faire enjamber chaque tombe une par une. Si le cheval refuse de passer sur un tombe et s’il se cabre, c’est alors le signe de la présence du vampire.
III. Lorsque le vampire est localisé dans son cercueil, il s’agit de célébrer un véritable rite d’exorcisme.
L’idée que le vampirisme découle d’une possession démoniaque n’est pas nouvelle : comme les sorcières, les vampires passaient pour des instruments du Malin, contrôlés par un esprit placé à l’intérieur du corps de la victime. l’Eglise catholique a développé un grand nombre de rituels d’exorcisme permettant d’expulser le démon au moyen de prières et d’artefacts saints.
Ainsi faut-il pour s’en libérer totalement :
- lui couper la tête;
- lui enfoncer de l’ail dans la bouche;
- lui planter un pieu dans le coeur;
- le démembrer et brûler son corps;
- arroser ses cendres d’eau bénite;
- réciter des hymnes et des cantiques religieux.
Le tout est de savoir ce qu’il restera après la disparition du démon.
Le vampire n’est pas un personne, même s’il en prend l’apparence, les attitudes, le caractère, les pensées et les souvenirs.
Donc, un vampire sans un démon pour l’animer ne serait peut-être qu’un légume.